Déclarations publiques
Données fondées sur la race et collecte de renseignements démographiques au sein de la CCETP et de l'OSSNR
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Le 12 juillet 2024, Ottawa, ON – L’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) est fier de célébrer son cinquième anniversaire, lequel marque une demi-décennie d’un nouveau modèle de surveillance des activités de sécurité nationale et de renseignement du Canada.
Depuis sa création en 2019, l’OSSNR a mené des dizaines d’enquêtes et d’examens indépendants, dans le but d’établir si les activités des organismes de sécurité nationale et de renseignement du Canada s’avéraient raisonnables, nécessaires et respectueuses des lois. Dans tout ce qu’il a entrepris, l’OSSNR a tenu à remplir sa mission, celle d’être les yeux et les oreilles des Canadiens pour ce qui a trait à la sécurité nationale et au renseignement.
« Je suis motivée par l’indépendance de l’OSSNR et le respect de l’État de droit, deux valeurs fondamentales qui ont guidé toute ma carrière. Grâce à ces valeurs et à un engagement en faveur d’enquêtes et d’examens rigoureux et de haut niveau, l’impact de l’agence sur le renforcement de la sûreté et de la sécurité ne peut être surestimé », de déclarer Marie Deschamps, présidente de l’OSSNR.
Les examens de l’OSSNR ont permis de dégager des constatations et des recommandations précieuses ayant pour objet de renforcer la responsabilisation des organismes de sécurité nationale et de renseignement du Canada. De plus, en publiant des versions déclassifiées de ses rapports d’examen, l’OSSNR a réalisé d’importants progrès dans la promotion de la transparence à l’égard du public.
« Les leaders les mieux avisés de la collectivité du renseignement savent que les examens contribuent à l’amélioration de leurs services. En effet, ces examens permettent de reconnaître les éléments qui posent problème, mais qui autrement risqueraient de passer inaperçus. Au cours de ses cinq premières années d’existence, l’OSSNR a affiché un professionnalisme remarquable dans la réalisation de ses examens, ce qui a favorisé l’amélioration continue des services qu’il a examinés », a soutenu Craig Forcese, vice président de l’OSSNR.
Les enquêtes de l’OSSNR ont également permis de révéler l’importance de mettre en place une procédure d’enquête indépendante visant à traiter les plaintes concernant les activités du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), du Centre de la sécurité des télécommunications (CST) et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC).
Au cours des cinq dernières années, l’OSSNR a travaillé sur de nombreux dossiers, notamment sur la réalisation d’un examen faisant suite à une décision rendue par la Cour fédérale en 2020, au cours duquel on a constaté des lacunes institutionnelles affichées par le SCRS et par le ministère de la Justice du Canada; sur l’examen de 58 plaintes renvoyées par la Commission canadienne des droits de la personne; et, plus tôt cette année, sur la publication d’un tout premier rapport d’intérêt public en vertu de l’article 40, Examen de la diffusion du renseignement ayant trait à l’ingérence politique étrangère exercée par la République populaire de Chine de 2018 à 2023.
L’OSSNR a également accueilli le Conseil de surveillance et d’examen du renseignement de la Collectivité des cinq en plus d’établir de solides relations de travail avec des partenaires internationaux et nationaux avec lesquels l’Office de surveillance continue d’échanger des pratiques exemplaires.
Date de publication :
Le Rapport spécial que l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) a produit à la suite de son Examen de la diffusion du renseignement ayant trait à l’ingérence politique étrangère exercée par la République populaire de Chine de 2018 à 2023 a été déposé au Parlement.
Ce premier Rapport spécial que l’OSSNR produit au titre de l’article 40 de la Loi sur l’OSSNR est une version révisée du rapport classifié remis au premier ministre le 5 mars 2024. Conformément à l’alinéa 52(1)b) de la Loi sur l’OSSNR, l’Office de surveillance a effectué les révisions nécessaires qui ont permis de supprimer l’information pouvant s’avérer préjudiciable pour la sécurité nationale, les relations internationales ou la défense nationale.
Ce rapport constitue le point culminant d’un examen qui a débuté le 9 mars 2023 et qui s’est concentré sur la production et la diffusion du renseignement concernant l’ingérence politique étrangère exercée à l’endroit des institutions et des processus démocratiques fédéraux de 2018 à 2023, période durant laquelle ont eu lieu la 43e et la 44e élection générale fédérale.
L’OSSNR a analysé la façon dont le renseignement a circulé au sein du gouvernement, et ce, depuis la collecte jusqu’à la communication aux utilisateurs du renseignement, en l’occurrence, de hauts fonctionnaires et des représentants élus. En outre, ce travail d’analyse a nécessité un examen approfondi des processus internes régissant la circulation de l’information collectée et l’acheminement de cette information vers les décideurs concernés.
Le rapport contient dix conclusions et huit recommandations s’appliquant aux trois secteurs d’activité suivants :
Pendant l’examen, l’OSSNR a obtenu l’accès direct aux systèmes du SCRS et du Centre de la sécurité des télécommunications (CST), et a pu s’entretenir directement avec des agents de renseignement du SCRS qui travaillaient sur le terrain. En tout, l’OSSNR a examiné des milliers de documents, a pris part à de nombreuses entrevues et séances d’information, et a reçu un nombre important d’observations écrites de la part des ministères et organismes visés par l’examen.
L’OSSNR répondra par écrit aux demandes de renseignements des médias ayant trait au contenu du rapport d’examen.
Pour obtenir de plus amples informations, prière d’utiliser les coordonnées ci-dessous :
Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
MEDIA-MEDIAS@nsira-ossnr.gc.ca
@OSSNRCanada
Date de publication :
Le 5 mars, l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) a remis au premier ministre ainsi qu’aux ministres de la Sécurité publique, de la Défense nationale et des Affaires étrangères le rapport classifié qu’il a produit au sujet de la diffusion du renseignement ayant trait à l’ingérence politique étrangère.
L’OSSNR estime qu’il est dans l’intérêt public de faire rapport sur ce sujet. Par conséquent, il produira, à l’intention du premier ministre, un rapport spécial qui sera déposé devant le Parlement. Ainsi, le rapport spécial aura pour objet d’informer les Canadiens sur la façon dont le gouvernement traite l’information relative à la menace que l’ingérence étrangère représente pour nos institutions et processus démocratiques.
Comme l’exige la Loi sur l’OSSNR, l’Office de surveillance est en consultation avec le gouvernement de sorte à veiller à ce que ledit rapport ne contienne aucune information qui soit préjudiciable ou confidentielle. L’OSSNR souhaite que le présent processus soit mené à bonne fin en temps opportun.
L’OSSNR ne fera aucune déclaration publique au sujet des conclusions de son examen tant que le rapport spécial n’aura pas été déposé devant le Parlement, respectant ainsi le privilège parlementaire.
Pour obtenir de plus amples informations, prière d’utiliser les coordonnées ci-dessous :
Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
MEDIA-MEDIAS@nsira-ossnr.gc.ca
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L’office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) examine actuellement certaines activités du Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) relatives à l'ingérence étrangère, en particulier le cadre de risque utilisé pour ces activités. Dans la lignée des examens en cours, l'OSSNR examinera le processus par lequel les renseignements liés à l'ingérence étrangère ont été évalués par la communauté de la sécurité et du renseignement avant et après les 43e et 44e élections générales fédérales, y compris la façon dont les divers produits d'évaluation ont été partagés et transmis aux décideurs concernés. Comme le prévoit la loi sur l’OSSNR, l’OSSNR prendra toutes les mesures raisonnables pour coopérer avec le Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et du renseignement (CPSNR) afin d'éviter de faire double emploi dans l’exercice de nos mandats respectifs.
L’OSSNR accorde une grande importance à la transparence et met en œuvre les meilleures pratiques pour partager autant d'informations que possible par l’entremise de ses rapport d'examen. L’OSSNR considère son indépendance comme la valeur la plus fondamentale à la base de son mandat. Comme pour tous ses examens et enquêtes, l’OSSNR effectuera ce travail avec un dévouement résolu en faveur de l'indépendance et de l'impartialité.
Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
MEDIA-MEDIAS@nsira-ossnr.gc.ca
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OTTAWA, Le 22 Février, 2022 – Un examen des communications d’information ayant trait à la sécurité nationale au titre de la Loi sur la communication d’information ayant trait à la sécurité du Canada (LCISC) a révélé que la grande majorité des communications faites par des institutions fédérales étaient conformes aux exigences de la Loi. Quelques cas ont toutefois suscité des préoccupations importantes, en particulier une communication, par la Gendarmerie royale du Canada (GRC)des renseignements personnels de milliers de personnes.
Il s’agit du tout premier examen conjoint mené par l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) et le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada (le Commissariat).
Le rapport conjoint sur la communication d’information sous le régime de la LCISC a été déposé au Parlement. Pour sa part, l’OSSNR a déjà effectué un examen des communications d’information faites en 2019.
Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS) et le Centre de la sécurité des télécommunications (CST) ont été les principaux destinataires de l’information communiquée au titre de la LCISC en 2020. La GRC a elle aussi été l’un des principaux destinataires des communications d’information et a elle-même fait un certain nombre de communications.
Au nombre des principales institutions qui ont communiqué de l’information figure Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, qui est à l’origine de 159 communications d’information ou environ 74 % de toutes les communications d’information en 2020. Bon nombre de ces communications concernaient des renseignements contenus dans les demandes de passeport et visaient principalement à confirmer le statut de citoyenneté ou à fournir des renseignements biographiques.
En outre, Affaires mondiales Canada est à l’origine de 40 communications (soit environ 19 %), dont bon nombre contenaient des renseignements recueillis par les missions diplomatiques concernant les déplacements de personnes dans des pays étrangers.
L’examen a révélé que 212 des 215 communications d’information en 2020 respectaient les exigences du critère de communication défini dans la LCISC.
Il a également montré que la plupart des communications concernaient une seule personne ou un petit nombre de personnes. Quelques-unes concernaient un plus grand nombre de personnes. L’une de ces communications, qui suscite une préoccupation particulière, représentait la grande majorité des personnes qui étaient visées par les communications au titre de la LCISC en 2020.
Dans ce cas en particulier, la GRC a communiqué au ministère de la Défense nationale et aux Forces armées canadiennes les renseignements biométriques de milliers d’hommes, de femmes et d’enfants, détenus par une entité étrangère parce qu’ils étaient soupçonnés d’être membres ou partisans d’une organisation terroriste.
L’examen a fait état de préoccupations à l’égard de cette communication, car la GRC avait alors communiqué des renseignements très sensibles en s’appuyant sur des données incomplètes. L’information manquante aurait été requise pour bien évaluer à la fois l’incidence sur le droit à la vie privée et la communication raisonnablement nécessaire dans les circonstances, comme l’exige la LCISC.
À l’issue de leur examen, l’OSSNR et le Commissariat ont formulé 11 recommandations destinées à améliorer la conformité à la LCISC. Ces recommandations portent, par exemple, sur la conservation des documents, la gouvernance et les mesures à prendre pour assurer le respect du critère de communication défini dans la LCISC.
L’OSSNR et le Commissariat demandent aux institutions de mettre en œuvre leurs recommandations dans un délai de six mois.
Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
MEDIA-MEDIAS@nsira-ossnr.gc.ca
@OSSNRCanada
Commissariat à la protection de la vie privée du Canada
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Madame Charette,
Je vous écris en réponse à votre lettre du 28 juin 2021, dans laquelle vous demandiez que les administrateurs généraux de l’ensemble de la fonction publique vous fournissent des lettres ouvertes décrivant les mesures prises en réponse à l’Appel à l’action en faveur de la lutte contre le racisme, de l’équité et de l’inclusion dans la fonction publique fédérale, publié le 22 janvier 2021.
En tant que nouvelle organisation établie en juillet 2019, l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) a pris un certain nombre de mesures pour intégrer la lutte contre le racisme, l’équité et l’inclusion dans les systèmes et les pratiques de tous nos secteurs d’activité. Comme vous l’avez reconnu dans votre lettre d’orientation, les organisations de la fonction publique fédérale en sont à différentes étapes de la mise en œuvre. Bien que l’OSSNR ait fait beaucoup de progrès, nous reconnaissons qu’en tant que nouvelle organisation, nous avons encore beaucoup de travail à faire pour atteindre les objectifs énoncés dans l’Appel à l’action.
Voici un résumé des progrès réalisés à ce jour dans la mise en œuvre de l’Appel à l’action, y compris une description des réussites et des défis constants. J’espère qu’il contribuera de façon significative à un ensemble commun de connaissances et de pratiques dans l’ensemble de la fonction publique fédérale et que d’autres organisations pourront profiter de la compréhension du travail de l’OSSNR jusqu’à maintenant sur ces questions. De même, j’ai hâte d’en apprendre davantage sur les réussites et les défis d’autres organisations dans la mise en œuvre de l’Appel à l’action et d’intégrer les pratiques exemplaires alors que nous continuons de faire progresser les questions de lutte contre le racisme, d’équité et d’inclusion.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de ma très haute considération.
John Davies
Directeur général
Secrétariat de l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
Être un micro-organisme à l’extérieur de l’administration publique centrale est peut-être le défi le plus important. L’Appel à l’action demande aux dirigeants de la fonction publique de nommer, de parrainer et de soutenir des employés autochtones et noirs et d’autres employés racialisés, grâce à la gestion des talents, au développement du leadership et aux programmes et services de perfectionnement professionnel. Les micro-organismes n’ont pas les mêmes ressources ni accès à la même infrastructure que les ministères et organismes de l’administration publique centrale, y compris les possibilités d’emploi, l’inclusion dans les exercices de gestion des talents à l’échelle du système, ou les programmes, outils ou systèmes élaborés et dirigés par le Bureau de la dirigeante principale des ressources humaines (BDPRH) au SCT.
Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
MEDIA-MEDIAS@nsira-ossnr.gc.ca
@OSSNRCanada
Commissariat à la protection de la vie privée du Canada
Communications@priv.gc.ca
@priveeprivacy
Date de publication :
C’est un honneur d’être désignée présidente de l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement.
À titre de présidente, mes priorités sont de soutenir l’objectivité et l’indépendance de l’OSSNR dans son mandat d’examen, surtout dans l’application du principe de la « confiance suivie de la vérification » et, pour son mandat d’enquête, de mettre en valeur l’accès à la justice, particulièrement grâce au nouveau processus mis en place en juillet 2021 (voir le nouveau processus ici).
À titre de présidente, mes priorités sont de soutenir l’objectivité et l’indépendance de l’OSSNR dans son mandat d’examen, surtout dans l’application du principe de la « confiance suivie de la vérification » et, pour son mandat d’enquête, de mettre en valeur l’accès à la justice, particulièrement grâce au nouveau processus mis en place en juillet 2021
Je suis reconnaissante du soutien que je reçois de l'équipe spécialisée et diversifiée de l’OSSNR et je me réjouis de continuer à travailler avec mes collègues de l’OSSNR pour renforcer les réalisations de l’OSSNR dans les années à venir.
L’honorable Marie Deschamps, C.C.
Présidente, Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
Date de publication :
Le premier ministre Justin Trudeau a annoncé aujourd'hui la nomination suivante :
L’honorable Marie Deschamps, C.C. C.C. devient membre de l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) à compter du 30 septembre 2019.
L’OSSNR agit de façon totalement indépendante. Il est chargé de s’assurer que les organismes canadiens affectés à la sécurité nationale et au renseignement respectent la loi et mènent uniquement des activités raisonnables et nécessaires.
Date de publication :
Au printemps dernier, l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) a subi une violation de la cybersécurité liée à l’exploitation de points faibles de Microsoft Exchange. Entre le 9 et le 19 mars 2021, un tiers a obtenu un accès sporadique et non autorisé au réseau externe de l’OSSNR (réseau Protégé B). Les informations ci-dessous fournissent aux personnes pouvant être concernées de plus amples renseignements sur la violation.
L’incident n’a pas affecté les systèmes classifiés de l’OSSNR.
La compromission s’est traduite par le vol de deux fichiers : le premier, un fichier contenant les paramètres de configuration du système et des logiciels pour l’un des serveurs de l’OSSNR, et le second comprenant la base de données d’Active Directory de l’OSSNR. Cette dernière contenait des informations de base sur les utilisateurs du réseau de l’OSSNR pour faciliter leur connexion au réseau informatique. Ces renseignements comprenaient généralement le nom et le prénom de l’utilisateur, son numéro de téléphone personnel ou celui de son bureau, son adresse électronique, ainsi qu’un hachage des mots de passe actuels et antérieurs. Les personnes concernées par le vol de la base de données d’Active Directory ont été directement informées par l’OSSNR, à quelques exceptions près. Si vous êtes un ancien employé, un entrepreneur ou un membre et que vous n’avez pas eu de nouvelles de notre part, veuillez communiquer avec l’OSSNR à privacy-vieprivee@nsira-ossnr.gc.ca pour en savoir plus. La base de données d’Active Directory ne contenait pas de renseignements sur les employés d’autres organismes du gouvernement du Canada ni sur des membres du public.
Le Centre canadien pour la cybersécurité (le Centre) a examiné l’infrastructure informatique de l’OSSNR après l’incident de cybersécurité et n’a trouvé aucune preuve permettant de croire que l’auteur de la menace a accédé de manière inappropriée ou a exfiltré d’autres renseignements stockés sur le réseau Protégé B de l’OSSNR. Nous ne pouvons toutefois pas exclure totalement la possibilité que l’auteur de la menace ait pu accéder de manière inappropriée à d’autres informations stockées sur le réseau Protégé B.
Le réseau Protégé B de l’OSSNR héberge divers documents non classifiés, Protégé A et Protégé B, créés par nos directions organisationnelles, d’examen et juridiques. En outre, le réseau contenait différents renseignements personnels concernant des employés de l’OSSNR et d’autres personnes. Le réseau Protégé B contenait également le serveur de courrier électronique de l’OSSNR, lequel contenait des communications cryptées et non cryptées.
L’OSSNR a discuté du contenu de son réseau Protégé B avec ses employés et les a familiarisés avec le type de renseignements personnels stockés à leur égard sur les serveurs de l’OSSNR. En outre, le serveur Protégé B comprendrait les types suivants de renseignements personnels sur les groupes énumérés :
Dès la découverte de la compromission en mars, l’OSSNR a travaillé en étroite collaboration avec Services partagés Canada (SPC) et le Centre pour contenir la violation et rétablir l’intégrité de ses systèmes. À la suite d’une recommandation du Centre, l’OSSNR a définitivement mis hors service son réseau Protégé B et l’infrastructure informatique connexe. Nous avons également signalé l’affaire à la GRC, qui mène actuellement une enquête policière sur le cyberincident.
En outre, l’OSSNR a signalé l’atteinte à la vie privée au Commissariat à la protection de la vie privée du Canada (CPVP) et au Secrétariat du Conseil du Trésor. Nous avons travaillé en étroite collaboration avec le CPVP pour évaluer les conséquences de l’atteinte à la vie privée et informer les personnes concernées. Aux termes de la Loi sur la protection des renseignements personnels, les personnes ont le droit de déposer une plainte auprès du CPVP concernant le traitement de leurs renseignements personnels. Pour en savoir plus sur la procédure pour porter plainte et accéder au formulaire, cliquez ici.
L’OSSNR s’engage à veiller à ce que son infrastructure informatique comporte les meilleures mesures de sécurité informatique de sa catégorie. Nous continuons à collaborer avec le Bureau du Conseil privé (BCP), le Centre de la sécurité des télécommunications (CST) et SPC à cet égard.
En outre, l’OSSNR a signalé l’atteinte à la vie privée au Commissariat à la protection de la vie privée du Canada (CPVP) et au Secrétariat du Conseil du Trésor. Nous avons travaillé en étroite collaboration avec le CPVP pour évaluer les conséquences de l’atteinte à la vie privée et informer les personnes concernées. Aux termes de la Loi sur la protection des renseignements personnels, les personnes ont le droit de déposer une plainte auprès du CPVP concernant le traitement de leurs renseignements personnels. Pour en savoir plus sur la procédure pour porter plainte et accéder au formulaire, cliquez ici.
Les deux organismes de surveillance du crédit au Canada offrent une gamme de services gratuits et payants :
Certain companies also offer services related to monitoring the Internet for the presence of an individual’s personal information, such as Telus’ Norton LifeLock.
En outre, le gouvernement du Canada et le Commissariat à la protection de la vie privée ont des pages Web consacrées à la protection de la vie privée et à la cybersécurité :
Pour en savoir plus sur les points faibles de Microsoft Exchange, consultez aussi :
N’hésitez pas à communiquer avec nous pour toute question ou préoccupation à privacy-vieprivee@nsira-ossnr.gc.ca.
Les mises à jour, le cas échéant, continueront d’être publiées sur le site Web de l’OSSNR.
Nous regrettons sincèrement les répercussions de ce cyberincident.