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Review of the Passenger Protect Program and Secure Air Travel Act: Notification Letter

Examen relatif à la LSDA


Lettre de Notification


Date de publication :

Lettre de l'OSSNR aux ministres

Mesdames et Messieurs les Ministres,

I am writing on behalf of the Members of the National Security and Intelligence Review Agency (NSIRA) to inform you that NSIRA has initiated a review of Passenger Protect Program, within the context of its legislative framework, the Secure Air Travel Act (SATA).

This review is being conducted pursuant to paragraph 8(1)(b) of the Loi sur l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (NSIRA Act). The NSIRA Act grants NSIRA full and timely access to all information held by reviewed departments and agencies, including classified and privileged information, with the exception of cabinet confidences.

L’examen de l’OSSNR portera sur les processus d’ajout ou de retrait d’une personne de la liste en vertu de l’article 8 de la LSDA, ainsi que les recours administratifs connexes. L’examen pourrait également tenir compte de la façon dont la liste de la LSDA est utilisée pour le contrôle des passagers aériens. À ce titre, l’OSSNR examinera les activités menées par les ministères et organismes suivants : l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), le ministère de la Justice, Affaires mondiales Canada (AMC), Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), Sécurité publique Canada, la Gendarmerie royale du Canada (GRC), et Transports Canada

NSIRA will engage with your officials regarding this review. As the review progresses, NSIRA’s review team will be in regular contact with them with requests for information. Such requests may involve documents, system access, written explanations, briefings, interviews, surveys, and any other information that NSIRA determines to be of relevance to this review. This review may also include independent inspections of some technical systems. NSIRA’s expectations for responsiveness are available online at https://nsira-ossnr.gc.ca.

Je vous remercie d’avance pour votre appui et votre coopération à ce processus d’examen indépendant, qui est essentiel dans une optique de transparence et de reddition de comptes démocratique.

Sincèrement,

L’honorable Marie Deschamps, C.C.
Présidente, Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement

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Date de modification :

Review of CSIS Threat Reduction Mesures (Review of 2021): Backgrounder

MRM du Service canadien du renseignement de sécurité (Examen de 2021)


Fiche d'information

Fiche d'information

Le présent rapport a été produit à la suite du troisième examen annuel de l’OSSNR sur les mesures de réduction de la menace (MRM) prises par le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS). L’examen porte sur les activités MRM que le SCRS a menées entre le 1er janvier et le 31 décembre 2021. Conformément au mandat que lui confère la Loi sur l’OSSNR, l’OSSNR est tenu d’examiner chaque année au moins un aspect du rendement du SCRS pour ce qui a trait aux MRM. De 2016 à 2019, donc avant la création de l’OSSNR en 2019, c’est le Comité de surveillance des activités de renseignement de sécurité (CSARS) qui examinait les activités MRM du SCRS.

In 2015, the Anti-Terrorism Act granted CSIS the authority to undertake TRMs. These are operational measures aimed at reducing threats to the security of Canada. TRMs may be taken in Canada or outside of Canada. TRMs are subject to limits outlined in the CSIS Act. The measures may limit a right or freedom guaranteed by the Charte canadienne des droits et libertés (Charter) or may otherwise be contrary to Canadian law if authorized by a warrant issued by a Federal Court judge. TRM powers differ greatly from CSIS’s traditional mandate to collect and disseminate intelligence and, as such, the use of TRMs demands thorough and ongoing independent scrutiny.

L’examen des activités menées en 2021 par le SCRS en matière de MRM s’appuie sur les conclusions des examens antérieurs menés par l’OSSNR et le CSARS sur le même sujet. Ces examens ont permis de relever quelques sources de préoccupation, notamment, l’inclusion de personnes dans les MRM sans avoir établi de lien rationnel avec la menace identifiée, mais aussi la nécessité, pour le SCRS, d’améliorer la tenue des dossiers concernant les résultats des MRM. En 2021, l’OSSNR a remarqué que la façon dont le SCRS exerçait ses pouvoirs en matière de MRM suivait des tendances semblables à celles des années précédentes. Il convient de noter que 2021 a été la première année où les MRM prises à l’endroit de menaces d’extrémisme violent à caractère idéologique ont été plus nombreuses que celles visant à lutter contre l’extrémisme violent à caractère religieux.

NSIRA found that CSIS met its obligations under the CSIS Actand the Charter. However, NSIRA found that improvements were needed in CSIS’s reporting procedures and made recommendations for improving legal risk assessments conducted for TRMs. Additionally, in one case, NSIRA identified that CSIS had not met its obligations under the 2015 Ministerial Direction for Operations and Accountability and the 2019 Ministerial Direction for Accountability issued by the Minister of Public Safety.

Les constatations et les recommandations publiées dans ce rapport montrent à quel point il est important que l’OSSNR réalise des examens indépendants concernant les activités MRM.

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Date de modification :

Review of CSIS Threat Reduction Measures (Review of 2021): Report

MRM du Service canadien du renseignement de sécurité (Examen de 2021)


Rapport


Date de publication :

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Date de modification :

Department of National Defence/Canadian Armed Forces’s Open source intelligence Activities: Notification Letter

Activités et renseignements de sources ouvertes du ministère de la Défense nationale/Forces armées canadiennes


Lettre de Notification

Table des matières

Date de publication :

Lettre de Notification

Monsieur le Ministre,

Je vous écris au nom des membres de l'Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) pour vous informer que l'OSSNR a entamé un examen des activités de renseignement de sources ouvertes (OSINT) du ministère de la Défense nationale et des Forces armées canadiennes.

This review is being conducted pursuant to paragraph 8(1)(b) of the Loi sur l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (NSIRA Act). The NSIRA Act grants NSIRA full and timely access to all information held by reviewed departments and agencies, including classified and privileged information, with the exception of Cabinet confidences.  

L'OSSNR examinera le caractère raisonnable, la nécessité et le respect de la législation applicable, des instructions et des directives ministérielles, des politiques internes, des décrets, des règlements, des orientations et de la doctrine des activités de renseignement de sources ouvertes du MDN et des FC.

NSIRA will engage with your officials regarding this review. As the review progresses, NSIRA’s review team will be in regular contact with them with requests for information. Such requests may involve documents, system access, written explanations, briefings, interviews, surveys, and any other information that NSIRA determines to be of relevance to this review. This review may also include independent inspections of some technical systems. NSIRA’s expectations for responsiveness are available online at https://nsira-ossnr.gc.ca/fr/.

Je vous remercie d’avance pour votre appui et votre coopération à ce processus d’examen indépendant, qui est essentiel dans une optique de transparence et de reddition de comptes démocratique.

Sincèrement, 

L’honorable Marie Deschamps, C.C.

Présidente // Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement

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Review of federal institutions’ disclosures of information under the Security of Canada Information Disclosure Act (Review of 2024): Notification Letter

L’examen des communications d’information par les institutions fédérales au titre de la Loi sur la communication d’information ayant trait à la sécurité du Canada (Examen de 2024)


Lettre de Notification

Table des matières

Date de publication :

Lettre de Notification

Mesdames et Messieurs les Ministres,

I am writing on behalf of the Members of the National Security and Intelligence Review Agency (NSIRA) to inform you that NSIRA has initiated its annual review of Government of Canada institutions’ disclosures of information under the Loi sur la communication d’information ayant trait à la sécurité du Canada (SCIDA) for 2024.

This review is being conducted pursuant to paragraph 8(1)(b) and subsection 39(1) of the Loi sur l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (NSIRA Act). The NSIRA Act grants NSIRA full and timely access to all information held by reviewed departments and agencies, including classified and privileged information, with the exception of cabinet confidences.  

NSIRA will engage with your officials regarding this review. As the review progresses, NSIRA’s review team will be in regular contact with them with requests for information. Such requests may involve documents, system access, written explanations, briefings, interviews, surveys, and any other information that NSIRA determines to be of relevance to this review. This review may also include independent inspections of some technical systems. NSIRA’s expectations for responsiveness are available online at https://nsira-ossnr.gc.ca/fr/.

Je profite de l’occasion pour rappeler aux ministères qu’ils ont l’obligation, en vertu du paragraphe 9(3) de la LCISC, de fournir à l’OSSNR les copies des dossiers préparés en vertu des paragraphes 9(1) ou 9(2) de cette Loi dans les 30 jours suivant la fin de l’année civile, c’est-à-dire au plus tard le 30 janvier 2025.

We request that these records be provided to the attention of The Honourable Marie Deschamps, NSIRA’s Chair, via the NSIRA Leadership Mailbox (leadership@nsira-ossnr.gc.ca) or CTSN.

Je vous remercie d’avance pour votre appui et votre coopération à ce processus d’examen indépendant, qui est essentiel dans une optique de transparence et de reddition de comptes démocratique.

Sincèrement,

L’honorable Marie Deschamps, C.C.

Présidente // Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement

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Rapports annuels

Rapports annuels


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Date de modification :

Review of the Canada Border Services Agency’s Confidential Human Source Program: Backgrounder

Examen portant le programme des sources humaines confidentielles de l'Agence des services frontaliers du Canada


Fiche d'information

PRINCIPAUX POINTS À RETENIR

  • Par sa nature, le recours aux sources humaines confidentielles comporte certains risques pour ce qui concerne, notamment, la sûreté et la sécurité des sources humaines.
  • L’ASFC exploite son Programme des sources humaines depuis 1984, mais ce n’est qu’en 2014 que des politiques formelles et des procédures normales d’exploitation ont été établies.
  • Le Programme des sources humaines de l’ASFC fonctionne dans un cadre juridique solide et constitue un outil d’enquête sur lequel l’Agence s’appuie pour exercer son mandat.
  • L’OSSNR a formulé six recommandations visant à renforcer la gouvernance du Programme tout en soulignant l’importance de prioriser la sécurité et le bien-être des sources humaines dans tous les aspects des opérations de l’ASFC.

En 2021, l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (OSSNR) a entrepris son examen du Programme des sources humaines confidentielles de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) en s’appuyant sur les travaux antérieurement réalisés dans ce domaine par le Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement (CPSNR). L’OSSNR a déjà réalisé des examens portant sur l’Agence, mais celui ci constitue l’un des premiers qui soient approfondis au sujet des activités de l’ASFC.

Le mandat de l’ASFC en matière de sécurité nationale et de renseignement est vaste et complexe. Lors du présent examen, l’OSSNR s’est concentré sur le recours aux sources humaines confidentielles, une activité qui, en soi, comporte une part de risque. Ces risques se posent non seulement eu égard à la sûreté et à la sécurité des personnes agissant en tant que sources humaines, mais aussi à certains aspects plus généraux de la gestion d’un tel programme. L’ASFC exploite son Programme des sources humaines depuis 1984, mais ce n’est qu’en 2014 que des politiques formelles et des procédures d’exploitation uniformisées ont été établies. Ayant ainsi fonctionné sans cadre formellement documenté pendant des décennies, le Programme s’est exposé à des risques accrus.

Le présent rapport d’examen sur l’ASFC fait partie d’une série de trois réalisés par l’OSSNR, les autres se concentrant plutôt sur la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et sur les activités de gestion des sources menées dans le cadre des programmes de sources humaines du ministère de la Défense nationale et des Forces armées canadiennes (MDN/FAC). Or, les trois examens ont porté sur des questions essentielles : la gestion et l’évaluation des risques, la présentation de garanties quant au bien-être des sources, de même que l’application d’instructions ministérielles adéquates et du principe de responsabilité ministérielle. Ces domaines sont essentiels pour garantir que les programmes de sources humaines soient exploités de façon responsable, légale et éthique.

L’examen a révélé que le Programme des sources humaines de l’ASFC fonctionnait dans un cadre juridique solide et constituait un outil d’enquête sur lequel l’Agence pouvait s’appuyer pour exercer son mandat. En revanche, cet examen a mis en évidence plusieurs lacunes sur le plan de la gouvernance du Programme et, dans deux cas, il a suscité des inquiétudes quant à la possibilité de non-conformité juridique.

 L’OSSNR a formulé six recommandations visant à renforcer la gouvernance du Programme. En outre, ces recommandations soulignent l’importance de prioriser la sécurité et le bien-être des sources humaines dans tous les aspects des opérations de l’ASFC. De plus, elles réitèrent l’attention soutenue que l’OSSNR accorde au principe de responsabilité ministérielle. Dans l’ensemble, les constatations et les recommandations témoignent du développement continu du Programme des sources humaines de l’ASFC. Bien que le Programme soit exploité depuis près de 40 ans, ce n’est que récemment que l’ASFC a adopté des politiques formelles régissant les sources humaines. Du reste, l’examen met en évidence les efforts continus que l’ASFC a investis pour améliorer la gouvernance et l’exécution du programme.

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Review of Departmental Implementation of the Avoiding Complicity in Mistreatment by Foreign Entities Act for 2022: Backgrounder

Examen de 2022 portant sur la mise en œuvre par les ministères de la Loi visant à éviter la complicité dans les cas de mauvais traitements infligés par des entités étrangères


Fiche d'information

Fiche d'information

Having its origin in the recommendations of Commission of Inquiry into the Actions of Canadian Officials in Relation to Maher Arar, the Loi visant à éviter la complicité dans les cas de mauvais traitements infligés par des entités étrangères (ACA) and the directions issued under its authority seek to avoid risks of Canadian complicity in torture or other forms of mistreatment. They do so by putting limits on Government of Canada information sharing with foreign entities such as states and non-governmental organizations.  

The directions prohibit Government of Canada departments from disclosing information to – or requesting information from – foreign entities if doing so would result in a substantial risk of mistreatment of any individual by any foreign entity. The directions also limit how departments may use information that is likely to have been obtained through mistreatment. Collectively, the ACA regime codifies Canadian values and commitments under the Charte canadienne des droits et libertés, the Code criminel, and international law in respect of protecting rights and prohibiting torture and other cruel and inhumane treatment. 

Chaque année civile, l’OSSNR est tenu d’examiner la mise en œuvre de toutes les directives émises dans le cadre de la LECCMTIEE. À ce jour, de telles directives ont été données aux administrateurs généraux de douze ministères et organismes. L’examen que l’OSSNR réalise chaque année quant à la mise en œuvre de la LECCMTIEE garantit que le gouvernement du Canada demeure responsable à l’égard de l’information faisant l’objet d’échanges avec ses partenaires étrangers et qu’il respecte les valeurs canadiennes de même que les engagements qui en découlent. Bien que la LECCMTIEE exige que chacun des ministères concernés rende compte à son ministre et au public de la mise en œuvre de la LECCMTIEE chaque année, il convient de noter que le mandat d’examen horizontal de l’OSSNR se démarque dans la mesure où il permet de donner un aperçu unique de la cohérence de cette mise en œuvre ainsi que des décisions connexes prises à l’échelle du gouvernement. 

L’examen de la LECCMTIEE réalisé par l’OSSNR pour 2022 s’est concentré sur les modes par lesquels les ministères ont évalué le risque de mauvais traitements dans le contexte de leurs échanges d’information avec des entités étrangères. L’OSSNR s’est fixé cet objectif dans la mesure où la conformité des ministères aux directives dépend largement de leur capacité à reconnaître les échanges d’information qui sont susceptibles de présenter un risque important de mauvais traitements. Si les ministères sous-évaluent le niveau de risque lié à un échange ou s’ils surévaluent l’impact des mesures prises afin de réduire ce risque, ils ne seront pas en mesure d’enclencher les mécanismes de reddition de comptes et de transparence prévus par la LECCMTIEE. En outre, ces mécanismes comprennent le renvoi de certains cas à risque élevé aux administrateurs généraux, ainsi que la transmission de rapports à l’OSSNR.  

L’OSSNR a constaté des incohérences majeures dans la façon dont les ministères du gouvernement du Canada évaluaient le risque de mauvais traitements posé par certains pays. L’OSSNR a même relevé des cas où, suivant leurs évaluations respectives du risque de mauvais traitements, des ministères avaient attribué diverses cotes de risque « faible » ou « moyen », voire « élevé » à un même pays. L’OSSNR a également constaté que les ministères avaient souvent attribué un poids exagérément élevé aux mesures proposées pour l’atténuation des risques et que, dans certains cas, ces ministères incorporaient de manière erronée les mesures d’atténuation dans leurs évaluations initiales du risque de base par pays.  

De telles failles méthodologiques ainsi que l’absence de freins et de contrepoids dans le processus d’évaluation des risques peuvent amener les ministères à sousévaluer systématiquement les risques posés par les échanges d’information envisagés. En définitive, il s’avère que lorsqu’il ne se conforme pas aux dispositions essentielles des instructions données au titre de la LECCMTIEE, le gouvernement du Canada risque de procéder à des échanges d’information qui seraient contraires aux interdictions prévues par les directives.  

Dans le cadre d’une série de recommandations devant permettre de faire face à ce risque, l’OSSNR a réitéré sa recommandation de 2019 voulant que le gouvernement du Canada élabore une approche unifiée en matière d’évaluations des risques dans le contexte de la LECCMTIEE. Dans chaque examen réalisé depuis 2019 concernant la LECCMTIEE, l’OSSNR a maintenu la position selon laquelle les risques liés aux droits de la personne dans un pays donné devraient être évalués de manière cohérente dans l’ensemble du gouvernement. Cette façon de faire permettrait non seulement d’éviter le gaspillage de ressources attribuable au fait que chacun des ministères réalise ses propres évaluations des risques, mis aussi d’éliminer la possibilité que les résultats des évaluations des risques divergents les uns des autres. 

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Review of Government of Canada Institutions’ Disclosures of Information Under the Security of Canada Information Disclosure Act in 2022: Backgrounder

Examen des communications d’information par les institutions fédérales au titre de la Loi sur la communication d’information ayant trait à la sécurité du Canada en 2022


Fiche d'information

Fiche d'information

ISSN : 2817-7533

Ce rapport présente les conclusions et les recommandations formulées dans le cadre de l’examen annuel de l’OSSNR concernant les communications d’information en vertu de la Loi sur la communication d’information ayant trait à la sécurité du Canada (LCISC). Celui-ci a été déposé au Parlement par le ministre de la Sécurité publique, comme l’exige le paragraphe 39(2) de la Loi sur l’OSSNR, le 1er novembre 2023.

Afin de protéger le Canada contre toute activité susceptible de compromettre sa sécurité, la LCISC confère un pouvoir explicite et autonome de communication d’information aux institutions fédérales. Son objectif officiel consiste donc à encourager et à faciliter de telles communications.

Ce rapport fournit un aperçu de la façon dont la LCISC a été appliquée en 2022. Ce faisant, il :

  • répertorie le volume et la nature des communications effectuées au titre de la LCISC;
  • évalue la mesure dans laquelle la Loi a été respectée; et
  • fait ressortir les tendances relatives à son application au sein des institutions fédérales et au fil du temps.

Le rapport contient six recommandations visant à accroître la normalisation au sein du gouvernement du Canada d’une manière qui soit conforme aux pratiques exemplaires des institutions et aux principes directeurs de la LCISC.

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Date de modification :

Review of the Canadian Security Intelligence Service’s (CSIS) use of Geolocation information: Backgrounder

L’examen de l’utilisation de l’information sur la géolocalisation par le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS)


Fiche d'information

Document d’information

On August 23rd, 2019, the National Security and Intelligence Review Agency (NSIRA) presented the Minister of Public Safety and Emergency Preparedness with a classified report on its review of CSIS’s use of geolocation information.

In this review, NSIRA found that CSIS’s use of this geolocation data without a warrant risked breaching section 8 of the Canadian Charter of Rights and Freedoms (Charter), which protects against unreasonable search and seizure. On March 16, 2020, NSIRA submitted a report under section 35 of the Loi de L’OSSNR, to the Minister of Public Safety regarding the possible unlawful activity.

Cet examen a soulevé des questions pressantes au sujet de l’utilisation des données accessibles au public, mais qui met néanmoins en cause l’attente raisonnable d’une personne en matière de vie privée. L’examen de l’OSSNR a examiné le processus décisionnel qui a amené le SCRS à utiliser ces données sans mandat, et a conclu que le SCRS n’avait ni les politiques, ni les procédures nécessaires pour s’assurer qu’avant d’utiliser les données, il demanderait un avis juridique pour éviter leur utilisation illégale.

Par ailleurs, l’examen a également permis de souligner de façon plus générale que, dans ce contexte, un soutien juridique continu aux activités d’exploitation de données par le SCRS est essentiel pour que l’organisme puisse fonctionner à un niveau de risque acceptable. Il a également souligné que le SCRS et le ministère de la Justice devaient faire preuve de leadership institutionnel à cet égard.

À l’avenir, l’OSSNR accordera la priorité à l’examen de l’utilisation de la technologie par le SCRS, en particulier les technologies nouvelles ou émergentes qui posent les plus grands risques.

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