Dernière mise à jour :
Statut :
En cours
Numéro de l'examen :
25-02
Dernière mise à jour :
Statut :
En cours
Numéro de l'examen :
25-02
Date de publication :
I am writing on behalf of the Members of the National Security and Intelligence Review Agency (NSIRA) to inform you that NSIRA has initiated its 2023 review of departmental implementation of the Loi visant à éviter la complicité dans les cas de mauvais traitements infligés par des entités étrangères (ACA). NSIRA is sending notification of this review to all deputy heads who have been issued directions under the ACA. This annual review is being conducted pursuant to subsection 8(2.2) and paragraph 8(1)(b) of the NSIRA Act. The NSIRA Act grants NSIRA full and timely access to all information held by reviewed departments and agencies, including classified and privileged information, with the exception of Cabinet confidences.
The NSIRA review team conducting this review has been identified in the cover email to this letter; they should serve as your officials’ primary point of contact at NSIRA regarding this review. Please ensure that the relevant points of contact within your organization are identified to NSIRA’s review team in the coming days. As the review progresses, NSIRA’s review team will be in regular contact with them regarding requests for information. Such requests may involve documents, system access, written explanations, briefings, interviews, surveys, and any other information that NSIRA determines to be of relevance. NSIRA reviews may also include independent inspections of technical systems. NSIRA’s “Expectations for Responsiveness in Reviews” are available on our website, www.nsira-ossnr.gc.ca.
Nous aimerions également profiter de l’occasion pour vous rappeler les exigences en matière de production de rapport prévues par la LECCMTIEE : le paragraphe 7(1) demande aux administrateurs généraux de soumettre au ministre compétent un rapport sur la mise en œuvre de la loi au cours de l’année civile précédente avant le 1er mars; et le paragraphe 8(1) exige que, dès que possible après avoir reçu le rapport visé à l’article 7, le ministre compétent en fournisse une copie à l’OSSNR, au Comité des parlementaires sur la sécurité nationale et le renseignement et, le cas échéant, à la Commission civile d’examen et de traitement des plaintes de la Gendarmerie royale du Canada.
Sincèrement,
L’honorable Marie Deschamps, C.C.
Présidente, Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
Date de publication :
Mesdames et Messieurs les Ministres,
I am writing on behalf of the Members of the National Security and Intelligence Review Agency (NSIRA) to inform you that NSIRA has initiated a review of Passenger Protect Program, within the context of its legislative framework, the Secure Air Travel Act (SATA).
This review is being conducted pursuant to paragraph 8(1)(b) of the Loi sur l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (NSIRA Act). The NSIRA Act grants NSIRA full and timely access to all information held by reviewed departments and agencies, including classified and privileged information, with the exception of cabinet confidences.
L’examen de l’OSSNR portera sur les processus d’ajout ou de retrait d’une personne de la liste en vertu de l’article 8 de la LSDA, ainsi que les recours administratifs connexes. L’examen pourrait également tenir compte de la façon dont la liste de la LSDA est utilisée pour le contrôle des passagers aériens. À ce titre, l’OSSNR examinera les activités menées par les ministères et organismes suivants : l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS), le ministère de la Justice, Affaires mondiales Canada (AMC), Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), Sécurité publique Canada, la Gendarmerie royale du Canada (GRC), et Transports Canada
NSIRA will engage with your officials regarding this review. As the review progresses, NSIRA’s review team will be in regular contact with them with requests for information. Such requests may involve documents, system access, written explanations, briefings, interviews, surveys, and any other information that NSIRA determines to be of relevance to this review. This review may also include independent inspections of some technical systems. NSIRA’s expectations for responsiveness are available online at https://nsira-ossnr.gc.ca.
Je vous remercie d’avance pour votre appui et votre coopération à ce processus d’examen indépendant, qui est essentiel dans une optique de transparence et de reddition de comptes démocratique.
Sincèrement,
L’honorable Marie Deschamps, C.C.
Présidente, Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
Dernière mise à jour :
Statut :
Soumis
Numéro de l'examen :
24-03
Dernière mise à jour :
Statut :
Soumis
Numéro de l'examen :
23-11
Dernière mise à jour :
Statut :
Soumis
Numéro de l'examen :
22-12
Dernière mise à jour :
Statut :
Soumis
Numéro de l'examen :
21-13
Dernière mise à jour :
Statut :
Soumis
Numéro de l'examen :
21-09
Date de publication :
Mesdames et Messieurs les Ministres,
I am writing on behalf of the Members of the National Security and Intelligence Review Agency (NSIRA) to inform you that NSIRA has initiated its annual review of Government of Canada institutions’ disclosures of information under the Loi sur la communication d’information ayant trait à la sécurité du Canada (SCIDA) for 2024.
This review is being conducted pursuant to paragraph 8(1)(b) and subsection 39(1) of the Loi sur l’Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement (NSIRA Act). The NSIRA Act grants NSIRA full and timely access to all information held by reviewed departments and agencies, including classified and privileged information, with the exception of cabinet confidences.
NSIRA will engage with your officials regarding this review. As the review progresses, NSIRA’s review team will be in regular contact with them with requests for information. Such requests may involve documents, system access, written explanations, briefings, interviews, surveys, and any other information that NSIRA determines to be of relevance to this review. This review may also include independent inspections of some technical systems. NSIRA’s expectations for responsiveness are available online at https://nsira-ossnr.gc.ca/fr/.
Je profite de l’occasion pour rappeler aux ministères qu’ils ont l’obligation, en vertu du paragraphe 9(3) de la LCISC, de fournir à l’OSSNR les copies des dossiers préparés en vertu des paragraphes 9(1) ou 9(2) de cette Loi dans les 30 jours suivant la fin de l’année civile, c’est-à-dire au plus tard le 30 janvier 2025.
We request that these records be provided to the attention of The Honourable Marie Deschamps, NSIRA’s Chair, via the NSIRA Leadership Mailbox (leadership@nsira-ossnr.gc.ca) or CTSN.
Je vous remercie d’avance pour votre appui et votre coopération à ce processus d’examen indépendant, qui est essentiel dans une optique de transparence et de reddition de comptes démocratique.
Sincèrement,
L’honorable Marie Deschamps, C.C.
Présidente // Office de surveillance des activités en matière de sécurité nationale et de renseignement
Having its origin in the recommendations of Commission of Inquiry into the Actions of Canadian Officials in Relation to Maher Arar, the Loi visant à éviter la complicité dans les cas de mauvais traitements infligés par des entités étrangères (ACA) and the directions issued under its authority seek to avoid risks of Canadian complicity in torture or other forms of mistreatment. They do so by putting limits on Government of Canada information sharing with foreign entities such as states and non-governmental organizations.
The directions prohibit Government of Canada departments from disclosing information to – or requesting information from – foreign entities if doing so would result in a substantial risk of mistreatment of any individual by any foreign entity. The directions also limit how departments may use information that is likely to have been obtained through mistreatment. Collectively, the ACA regime codifies Canadian values and commitments under the Charte canadienne des droits et libertés, the Code criminel, and international law in respect of protecting rights and prohibiting torture and other cruel and inhumane treatment.
Chaque année civile, l’OSSNR est tenu d’examiner la mise en œuvre de toutes les directives émises dans le cadre de la LECCMTIEE. À ce jour, de telles directives ont été données aux administrateurs généraux de douze ministères et organismes. L’examen que l’OSSNR réalise chaque année quant à la mise en œuvre de la LECCMTIEE garantit que le gouvernement du Canada demeure responsable à l’égard de l’information faisant l’objet d’échanges avec ses partenaires étrangers et qu’il respecte les valeurs canadiennes de même que les engagements qui en découlent. Bien que la LECCMTIEE exige que chacun des ministères concernés rende compte à son ministre et au public de la mise en œuvre de la LECCMTIEE chaque année, il convient de noter que le mandat d’examen horizontal de l’OSSNR se démarque dans la mesure où il permet de donner un aperçu unique de la cohérence de cette mise en œuvre ainsi que des décisions connexes prises à l’échelle du gouvernement.
L’examen de la LECCMTIEE réalisé par l’OSSNR pour 2022 s’est concentré sur les modes par lesquels les ministères ont évalué le risque de mauvais traitements dans le contexte de leurs échanges d’information avec des entités étrangères. L’OSSNR s’est fixé cet objectif dans la mesure où la conformité des ministères aux directives dépend largement de leur capacité à reconnaître les échanges d’information qui sont susceptibles de présenter un risque important de mauvais traitements. Si les ministères sous-évaluent le niveau de risque lié à un échange ou s’ils surévaluent l’impact des mesures prises afin de réduire ce risque, ils ne seront pas en mesure d’enclencher les mécanismes de reddition de comptes et de transparence prévus par la LECCMTIEE. En outre, ces mécanismes comprennent le renvoi de certains cas à risque élevé aux administrateurs généraux, ainsi que la transmission de rapports à l’OSSNR.
L’OSSNR a constaté des incohérences majeures dans la façon dont les ministères du gouvernement du Canada évaluaient le risque de mauvais traitements posé par certains pays. L’OSSNR a même relevé des cas où, suivant leurs évaluations respectives du risque de mauvais traitements, des ministères avaient attribué diverses cotes de risque « faible » ou « moyen », voire « élevé » à un même pays. L’OSSNR a également constaté que les ministères avaient souvent attribué un poids exagérément élevé aux mesures proposées pour l’atténuation des risques et que, dans certains cas, ces ministères incorporaient de manière erronée les mesures d’atténuation dans leurs évaluations initiales du risque de base par pays.
De telles failles méthodologiques ainsi que l’absence de freins et de contrepoids dans le processus d’évaluation des risques peuvent amener les ministères à sousévaluer systématiquement les risques posés par les échanges d’information envisagés. En définitive, il s’avère que lorsqu’il ne se conforme pas aux dispositions essentielles des instructions données au titre de la LECCMTIEE, le gouvernement du Canada risque de procéder à des échanges d’information qui seraient contraires aux interdictions prévues par les directives.
Dans le cadre d’une série de recommandations devant permettre de faire face à ce risque, l’OSSNR a réitéré sa recommandation de 2019 voulant que le gouvernement du Canada élabore une approche unifiée en matière d’évaluations des risques dans le contexte de la LECCMTIEE. Dans chaque examen réalisé depuis 2019 concernant la LECCMTIEE, l’OSSNR a maintenu la position selon laquelle les risques liés aux droits de la personne dans un pays donné devraient être évalués de manière cohérente dans l’ensemble du gouvernement. Cette façon de faire permettrait non seulement d’éviter le gaspillage de ressources attribuable au fait que chacun des ministères réalise ses propres évaluations des risques, mis aussi d’éliminer la possibilité que les résultats des évaluations des risques divergents les uns des autres.